FERME DE GWEL AR MOR | SAINT-PABU
PRODUITS LAITIERS & COSMÉTIQUES
Nos vaches sont élevées au maximum en pâturage.
Elles passent leurs nuits dans l’étable en hiver, lorsque le temps ne leur permet pas de dormir à la belle étoile…
Notre exploitation compte 120 vaches à traire.
La surface exploitée est de 82Ha, toutes nos cultures sont dédiées à l’alimentation du troupeau, alimentation 100% non-OGM.
60Ha d’herbe permettent cela, divisés en pâtures (35Ha) et mélange multi-espèces (25Ha) que l’on récolte pour l’alimentation dans l’étable.
Depuis Avril 2021, le nouveau laboratoire de transformation de Saint-Pabu est en activité.
Le bâtiment, construit dès la fin de l’année 2020, abrite désormais toute l’activité de transformation.
Notre gamme a évolué avec l’installation de Virginie sur l’exploitation en janvier 2021. C’est elle qui a imaginé le nouveau bâtiment, réalisé les plans et suivi le chantier.
Son installation marque un nouveau tournant dans l’histoire de la transformation.
Dans la gamme, on retrouve le beurre, la crème, le Pabu (fidèle compagnon de goûter des petits et grands !), les yaourts, le skyr, ainsi que les petits fromages frais, enrobés ou nature selon les goûts.
En 2025, pour aller encore plus loin, nous avons l’idée folle de valoriser notre merveilleux lait dans un tout autre domaine : La cosmétique !!
Nouveau !
La ferme de Gwel Ar Mor innove encore. Ses étals de marchés et ses distributeurs automatiques s’embellissent de savons au lait des vaches. Une manière de mieux valoriser la production de l’élevage de Saint-Pabu.
On connaît le savon au lait d’ânesse ou de brebis mais de vache, ça ne se trouve pas sous les sabots d’un cheval. « Plutôt rare en effet. Je crois qu’il existe une ferme laitière, en Ille-et-Vilaine, qui produit exclusivement pour du savon », confirme Virginie Bégoc, chef d’exploitation agricole à Saint-Pabu qui se lance dans cette même production originale, sans équivalent bien au-delà du Finistère. Manière, selon l’agricultrice de la perle des Abers (le surnom de Saint-Pabu), « de redonner de la noblesse à notre lait alors que ses prix d’achat, sur les marchés alimentaires, ne reconnaissent pas sa juste valeur. On appelait ça l’or blanc auparavant », rappelle-t-elle.
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